Et c'est mon Take - Le pipeline Northern Gateway

A fait la guerre silencieuse du nord-ouest en Colombie-Britannique, où les balles volent sous la forme de perçage emplacements de spin médias falsifiés, où les obus de mortier sont lobée sous la forme d'un développement industriel importune, et où les règles d'engagement sont manipulés par la force dominante à s'adapter à un credo fortunée. Mais cette guerre est en train de perdre son silence.

Comme toutes les guerres, les allégeances peut faire pour étranges compagnons de lit et parfois les lignes de la participation individuelle peut devenir trouble. À risque sont les terres ancestrales des Premières nations, de la marine et de l'écologie fragile sur terre, pour le salut potentiel économique de toute une région qui souffre de rares opportunités financières. Peu importe qui sera victorieux dans cette guerre, le résultat se traduira inévitablement par des pertes énormes pour ceux qui n'ont pas autant de chance.

À différents stades de proposition et d'approbation, au nord-ouest de la Colombie-Britannique a l'honneur douteux d'être le foyer de l'une des plus fortes concentrations d'exploitation proposé, l'extraction des ressources, de pipelines et d'autres projets industriels au Canada. Des lignes directrices officielles pour recevoir licence appropriée par les autorités compétentes sont suivies par les promoteurs de ces projets mastodonte, toutefois, exclues du processus de planification sont les peuples autochtones qui se sont installés ces terres depuis plus de dix mille ans.

Certains pourraient trouver difficile de comprendre toute résistance à des milliards et des milliards de dollars d'investissement proposé et les milliers d'emplois temporaires et permanents bien rémunérés qui seraient créés avec la construction et l'exploitation de ces projets. Pour certains, le timing est impeccable, avec une économie en difficulté, le chômage élevé, les pertes irrécupérables d'affaires, et une diminution de la population qui sévit dans toute la région. En outre, pour certains, il est tout aussi déroutant pourquoi, le taux de chômage des Autochtones courir huit à dix fois plus élevé que la population non autochtone, les divers chefs et les conseils et les chefs héréditaires ne serait pas solliciter activement ces mégaprojets, plutôt que de les entraver.

Le dernier mouvement de l'approbation réglementaire est l'oléoduc Northern Gateway proposé par Enbridge qui, s'il est approuvé, voir un 1200 km de pipeline double système construit entre le Bruderheim, en Alberta zone et l'océan Pacifique à Kitimat, en Colombie-Britannique. Un tuyau de 36 pouces pousserait 525.000 barils de pétrole des sables bitumineux par jour vers l'ouest jusqu'à Kitimat pour être chargés sur les navires destinés à des marchés étrangers, principalement ceux d'Asie. Un tuyau de 20 pouces enverrait 193.000 barils de condensats par jour vers l'est, vers l'Alberta zone industrielle de Heartland au nord d'Edmonton, l'emplacement de la raffinerie d'Enbridge Bruderheim.

Condensat est mélangé avec un additif d'huile lourde qui permet à l'huile de s'écouler plus facilement dans le pipeline. Il est facilement disponible en Asie. Le plan appelle à condensat à être déchargées de navires en provenance de l'Asie dans un établissement qui reste encore à être construit à Kitimat, puis d'avoir ces mêmes navires rechargées avec de l'huile en provenance de l'Alberta. Doté d'un prix à payer 5,5 milliards de dollars, ce projet pourrait avoir des retombées positives de mammouth financières aux nombreuses communautés le long de la canalisation enterrée empreinte proposé en Alberta et en Colombie-Britannique.

Avec le golfe du Mexique récente parodie et souvenirs vivaces de l'Exxon Valdez en 1989, une coalition de groupes environnementaux, des citoyens concernés, les propriétaires d'entreprises, les administrations municipales, les gouvernements provinciaux et les Premières nations ont tous parlé publiquement de leurs points de vue. Certains ont des préoccupations mineures. Certains accueillir l'impact financier. Certains sont morts mis en opposition, pour une grande variété de raisons.

Pour beaucoup dans le nord-Colombie-Britannique, l'opposition à l'oléoduc Northern Gateway se divise en deux grandes catégories, l'impact réel et potentiel négatif sur les terres et l'eau, et l'exclusion perçue de l'entrée des Premières nations. Enbridge réfute ces points de querelles, prétendant avoir des coffres-forts fail redondants en place pour assurer la sécurité de fonctionnement, et dit qu'ils accueillent entrée d'adressage préoccupations des Premières nations.

Les groupes autochtones et non-autochtones sont extrêmement préoccupés par le risque de catastrophe sur le chenal de Douglas, l'entrée voie qui mène de l'océan Pacifique à Kitimat. Avec projetées de 220 escales de navires par année étant ajouté à cet écosystème fragile, les craintes sévir d'une catastrophe de l'Exxon Valdez taille attente de se produire. De la région de Prince William Sound en Alaska, nous avons appris que le rétablissement de la pollution et des dégâts d'une marée noire durera au moins plusieurs décennies. Peut-être plus. Et les troubles de British Petroleum dans le golfe du Mexique ne font qu'ajouter à les munitions pour ces groupes d'utiliser contre Enbridge.

Ce que beaucoup au Canada peut-être surpris d'apprendre à quel point c'est beaucoup plus loin que les autochtones en Colombie-Britannique au nord-ouest sont que dans n'importe quelle autre partie du pays, au moins en termes d'être reconnu par l'autonomie gouvernementale. En fait, la Nation Nisga'a vient de fêter le 10 e anniversaire de la signature de leur traité historique. Le sous-produit de ceci est que les autochtones sont organisés et peuvent monter une opposition importante aux activités qu'ils jugent les infractions sur les terres ancestrales et des droits.

De récents sondages d'opinion publique, si l'on veut être cru, montrent un fort soutien populaire pour les opposants à l'oléoduc Northern Gateway.

L'histoire est un professeur prolifique et un oracle omniscient. Avec les gouvernements provinciaux activement la promotion de ce projet, avec les milliards de profits de conduite d'un promoteur d'entreprise forte, comme Enbridge, et avec la population en général dans le domaine de crier pour des emplois bien rémunérés pour remplacer ceux qu'ils ont perdu, on n'a pas besoin plus tard dans technologie boule de cristal pour voir que l'argent fait foi.

Et c'est mon point de vue.

2010 par Curtis Sagmeister. Tous droits réservés....